Il s’agit de femmes et de filles autochtones qui ont émigré de leur État d’origine pour vivre à Milpa Alta (Mexico) il y a 25 ans, fuyant la violence.

Elles accèdent à l’autonomie économique, travaillent sur leurs processus de violence, et créent des communautés émotionnelles de femmes qui font de la plantation et de la cuisine des espaces de rencontre, d’écoute, d’accompagnement et de ressourcement. Ils travaillent également sur la question de l’autonomie économique des femmes afin qu’elles puissent sortir des cercles de violence et dépendre de moins en moins de leurs agresseurs, à travers les pratiques de cuisine, de plantation, d’entretien de la terre et de protection des semences.